Longuement la musique ou la mer
plus loin que la trouée fragile
Ce qui s'accomplit sous les voûtes
rumeur qui dessine l'humain sous le printemps des violes
je le subis, moment silencieux sans attaches
mais avec le partage de chaque être chaque source
invincible et calme
Chemin de chair ouvert, nous naissons sans mémoire
Partir à nouveau, de tout le gonflement balancé
vers cette voix très basse qui partage sans pleurs la beauté