Cela commence comme une promenade le long de la rivière Kasagh, de bourgades en villages, à peine quelques failles dans la terre, et un semis de monastères qui s'isolent peu à peu.
Vient la montée aux flancs de l'Aragats, replis multipliés de la terre qui, d'ampleur en ampleur, vous mettent au diapason d'un monde vif, aigu. Et nous voilà perdus à nouveau, comme en apesanteur, sans autres repères que l'air piquant dans l'incessance des pierres.