Première trace humaine de ce qui deviendra Erevan,
la forteresse d'Erebouni domine aujourd'hui la ville.
Poèmes
Ecrire le voyage jour à jour, découvrir lieu à lieu, voir, comprendre... Mais aussi partager un peu de l'âme, les instants isolés, absolus. Ne pas écrire, quêter l'épaisseur, les mots jamais sus, chercher les corps, la lumière, l'attente.
Forteresse qui veille
Tant de douleurs
Un groupe de femmes, un matin d'été,
qui visitaient le monastère d'Ayravank, sur les rives du lac Sevan...
Village dans la mémoire
Makénis, après une longue quête du chemin, une lente, si lente, montée. Il y coule un torrent près des jardins.
Fallait-il le voyage
Près d'Idjevan, le soir, sur les hauteurs, le battement du monde, des vies dans l'instant.
Cette maison...
A Kirants, une nuit, avec autour de la maison, le jardin.
La dignité du corps
D'une femme en noir qui nous accueille à Sanahin, à bien d'autres dans les villages, et celles sur les photos d'avant 1915...
L'absence, à Talin
A Talin, dans la chaleur d'été, le vide à vif qu'on éprouve, insaisissable
A la frontière
Ererouk, l'expérience de la frontière, entre l'église des premiers siècles et les abeilles en fête.