Élie dit :
" L'été ne résout que le grain, la terre heurtée
et déjà les troupeaux couvrent les chaumes
Pas plus que les vents sans subsistance
l'été ne courbe les soleils les terreurs
Bien plus loin que les peupleraies
s'étalent peut-être en un instant vite soumis
des oriflammes d'eau humaine
parents des larmes de l'enfance
Mais ce ne sont là que griffonnements insensés
sans réel poids sur l'heure "