Saintongeoise de mariée
Brioux
Pèleboise de cérémonie
Thorigné
Saintongeoise
Loulay
Champanais de grand deuil
Malaville
Saintongeoise de cérémonie
Aubigné
Coiffe carrée
St-Hilaire des Loges
Mothaise de cérémonie
Barbichet de cérémonie
Brigueuil
Saintongeoise de cérémonie
Mazin
Champanais de tous les jours
Gourvillette
Saintongeoise de jeune fille
Aulnay
Saintongeoise demi-deuil
Loulay
Champanais de jeune fille
Matha
Saintongeoise demi-deuil
St-Jean d'Angély
Champanais de grand deuil
Châteauneuf sur Charente
Saintongeoise de grand deuil
Mauzé sur le Mignon
Dentelle à l'aiguille
Saintongeoise de mariée
Mauzé sur le Mignon
Saintongeoise demi-deuil
Mauzé sur le Mignon

Le fil, ténu
qui fait dans le jour
toute la dentelle
des rêves.

Les plis, les courbes
dans l'orbe du visage
toute la fragilité
du monde, le désir
qui suit la lumière
des femmes en allées.

Appartenance sociale

Les grands bonnets de grandes dimensions avec des garnitures de qualité étaient réservés à la mariée et pouvaient atteindre des prix très élevés, l'équivalent d'une paire de bœufs. Il existait des grands bonnets à barbes plus simples pour les jours festifs.

Coiffe de mariée
Coiffe de mariée
Coiffe ordinaire
Coiffe à barbes simples

 

Antériorité

Au début et au milieu du XIXe siècle, le grand bonnet était porté quotidiennement avec une garniture en linon plissé à l'ongle ; nous pouvons le constater par les caricatures de Barthélémy Gautier (Pilot d'images, V. Billaud, Royan) qui représentent les femmes âgées de la région de Pons, vers 1880.

Dessin Barthélemy Gautier
Caricature de Gautier
Ancienne coiffe
Ancienne coiffe en linon plissé