Saintongeoise demi-deuil
Mauzé sur le Mignon
Saintongeoise
Loulay
Champanais de grand deuil
Châteauneuf sur Charente
Saintongeoise de jeune fille
Aulnay
Saintongeoise de grand deuil
Mauzé sur le Mignon
Champanais de grand deuil
Malaville
Saintongeoise de cérémonie
Aubigné
Dentelle à l'aiguille
Pèleboise de cérémonie
Thorigné
Saintongeoise de cérémonie
Mazin
Saintongeoise de mariée
Brioux
Champanais de jeune fille
Matha
Barbichet de cérémonie
Brigueuil
Saintongeoise de mariée
Mauzé sur le Mignon
Coiffe carrée
St-Hilaire des Loges
Champanais de tous les jours
Gourvillette
Saintongeoise demi-deuil
Loulay
Mothaise de cérémonie
Saintongeoise demi-deuil
St-Jean d'Angély

Le fil, ténu
qui fait dans le jour
toute la dentelle
des rêves.

Les plis, les courbes
dans l'orbe du visage
toute la fragilité
du monde, le désir
qui suit la lumière
des femmes en allées.

Appartenance sociale

Il existait une version deuil et demi-deuil, toute en linon ou mousseline (plissage à l'ongle des éléments normalement paillés). Pour le grand deuil, il y aurait eu des versions avec des rubans de soie noire.

Demi-deuil
Coiffe de demi-deuil de La Mothe
Deuil
Coiffe de grand deuil de La Mothe

Antériorité

Dans la première moitié du XIXe siècle, les femmes de la région portent une coiffe marquée de trois prinques sur le devant et simplement aplatie au sommet. Les premiers cayons mothais étaient montés sur calotte matelassée. Ensuite, la coiffe évolue, la forme se relève et se brise en casquette au sommet, mais l'aspect général reste massif et trapu. En 1889, une lingère retravaille la forme et lui donne un aspect plus élancé.

Ancienne mothaise de deuil
Une ancienne mothaise aux trois prinques
Ancienne mothaise de cérémonie
Coiffe avec casquette à l'aspect trapu
Une mothaise de cérémonie de Couhé Vérac
La forme plus récente de la coiffe