Dans les arcanes de l’hiver,
les bois des arbres, leurs silhouettes émiettées, graciles,
soumises aux vents des tempêtes,
l’hiver, les arbres sont parents du silence.
La terre lavée de fin d’hiver
ruisselante du trop plein d’eau
de la saison accumulée
Nous sommes dans l’errance du monde
nous nous agrippons aux saisons qui passent et changent