C’est la lumière de l’hiver encore, juste diaphane, qui hésite entre le brouillard et le soleil, entre le songe et le réel.
Dehors, les enfants jouent
parmi les fleurs et la lumière d’avant-printemps,
et leurs visages donnent de la lumière au monde,
Le jardin de l’enfance où je cueillais les cerises et les fraises frappe légèrement à l’ouverture de la mémoire.