Depuis quelques mois, la course du monde devient visiblement plus effrénée, plus sidérante, plus terrifiante aussi.
On pourrait croire que les frasques et les incohérences, pour ne pas dire plus, du nouveau président des États-Unis et de son administration tiennent à sa personnalité, à son vouloir de maîtriser le monde et l’image, à créer de “ bons moments de télévision ”… bref à rajouter du chaos au chaos.
Comment expliquer le déni de l’humanité face à des conclusions scientifiques alarmantes, alors que la science est au cœur de notre époque et son moteur évident ?
C’est un livre qui a marqué le jeune chercheur que j’étais, il y a plus de cinquante ans, et qui me revient à la figure aujourd’hui grâce à la parution d’un autre livre dont la trame romanesque s’inspire du premier.