Dans les arcanes de l’hiver,
les bois des arbres, leurs silhouettes émiettées, graciles,
soumises aux vents des tempêtes,
l’hiver, les arbres sont parents du silence.
Tant d’effluves de mort sur les terres de ce monde
J’ai fouillé dans les photos anciennes
L’enfance est si lointaine, presque perdue dans la mémoire effilochée.