“ J’avais besoin d’un tour à bois, alors je l’ai fabriqué ”. Il pédale en rythme, tient la gouge, les copeaux volent.
Les années peut-être, c'était comme la musique
comme un miracle ou le bonheur, le chant des rythmes
quand on les regardait, derrière soi, dans l'été
Vous qui venez l’été les chemins débordent d’ombre
Vous avez dans les yeux des questions immobiles
C'est dans l'entrée d'un bâtiment très vieux, comme revenu des brumes incertaines dans l'enfance, il y a des objets dans le couloir, des murs marqués d'inscriptions, de hautes portes, vous attendez parmi les photos d'autrefois, vous respirez cet air un peu fané un peu distant.