C’est un endroit décomposé, détruit. Il reste des rues que la caméra parcourt, bordées d’immeubles, de maisons éventrées.
C’est le soir, dans la ville, c’est un lieu où l’on a mis au mur des images, des visages de femmes et d’hommes.
Qu’est-ce qui, un jour, fait rêver de la Route de la Soie ? Plus de traces dans la mémoire, mais le sentiment que ces itinéraires, depuis plus deux millénaires de caravanes, de commerce lent mais dense, ont forgé, confronté des visions du monde.