Les hommes dans les bois font la brouille,
ils nettoient autour des arbres, c’est l’hiver,
Quand on revoit l’enfance, c’est à pleines brassées la certitude du monde.
Soir d’hiver, la pluie fouette le seuil,
la pluie s’insinue dans les vies de l’enfance
Visages que j’ai oubliés
au premier abord de ma peau,
C’est un rituel éteint très loin dans la mémoire. C’est le printemps, quand il y a profusion de fleurs sur la terre.