Visages que j’ai oubliés
au premier abord de ma peau,
C’est un rituel éteint très loin dans la mémoire. C’est le printemps, quand il y a profusion de fleurs sur la terre.
La donation objet de cet article et du précédent est formalisée chez le notaire Cristin, le 18 mars 1812. Jean Sirat, cultivateur à Lépinoux, fait cette donation à ses deux enfants Joseph, marié à Marianne Babin, et Marie, marié à Jean Bonnarme. Voici le second lot.
La donation objet de cet article et du suivant est formalisée chez le notaire Cristin, le 18 mars 1812. Jean Sirat, cultivateur à Lépinoux, fait cette donation à ses deux enfants Joseph, marié à Marianne Babin, et Marie, mariée à Jean Bonnarme.
Il s’agit du contrat de mariage entre Joseph Sirat et Marianne Babin, en date du 12 février 1805.
Ce qu’on récolte de l’enfance,
ces instants qui protègent toute une vie,
Les étoiles dans la mémoire
qu’on risque de perdre à jamais,
Sage comme une image
on voit une petite fille d’autrefois
en robe à carreaux, qui sourit
au monde qui l’attend.
Pourquoi l’enfance ainsi fait-elle la lumière tout au long des années, d’un halo plus perceptible quand l’âge avance ?