Le soir parfois, nous allions marcher, à deux pas le chemin derrière la ferme ouvrait sur la terre.
Le village n’était pas un village, seulement quelques maisons et bâtisses, au bord du chemin qui s’arrêtait là et si l’on continuait c’était la lande, ou des parcelles d’herbe, ou les débris du vent.