Depuis Tachkent, la route rattrape une large vallée aride, qu’on suit longtemps avant d’obliquer vers le Sud, de gravir les montagnes.
Route vers le Sud, depuis Samarcande, assez longue pour que les montagnes arides de l’été s’instaurent en nous, deviennent la seule présence versant sur versant, la même image interminable et sans cesse changeante.